Académie Bathory
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Demeure des Bathory, devenue Académie, qui accueille tant les humains, que les vampires...
 
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 Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ]

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Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ] 830772sa
Lestat Bathory

Lestat Bathory

Messages : 157
Date d'arrivée : 07/05/2010

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¤ Métier: Directeur
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:

Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ] Vide
MessageSujet: Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ]   Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ] EmptyMar 11 Jan - 1:59

    La cruauté était-elle filiale, pernicieux gêne dans les legs héréditaires d’une descendance à une autre… Ou résidait-elle dans l’unique anxiété de l’éducation, une formalité de mœurs anciennes et individuelles à une famille de gentilshommes. La malignité, infuse ou didactique ? Une panacée existait-elle pour guérir cette maladie de l’âme ? Inconcevable de panser une âme souillée… Les suppôts de Satan, la quintessence même des diamants des limbes, mais étaient-ils les plus odieuses créatures que Lucifer ait songé matérialiser ? Les mondes parallèles recelaient d’entités inaccessibles à la fertilité des plus grands, l’imagination humaine était si limitée... Leur exécrable ingénuité les condamnait à une misérable cécité. Du moins, à cette époque actuelle… L’éternité serait insuffisante pour confirmer leur bassesse, mais fut un temps, une ère, où ces infâmes sortirent de cette infirmité pour renverser l’ordre établi. Ils s’étaient laissé leurrer par leur innocence… Leur impertinence à exploiter le seul instant d’inattention qu’ils s’étaient octroyé, un rare moment de complicité familiale, qui leur avait coûté la perte d’un phénix paternel. Qui aurait cru… Qu’un jour, il fuirait tel un animal traqué, des enfants d’Adam et d’Eve ? Avait-il déjà ressenti un tel opprobre avant ce jour… Jamais, jamais la honte n’avait rongé sa chair, ses os, son cœur de cette façon. Jamais il ne s’était senti si défaillant et indigne, et jamais il ne pourrait se pardonner sa lâcheté… Sa seule gloire, son unique consolation s’était logée dans les prunelles célestes du bambin qui, innocemment, s’amusait avec le pendentif que lui avait légué l’être qui se consumait par les flammes au même instant. Il n’avait pu détourner son regard rutilant de l’immonde exhibition acclamée par la foule, des flamboyances des différents incendies qui ramenaient ces êtres des ténèbres à leur état initial. Impuissant, enchaîné à la déférence qu’il lui portait, à ses dernières volontés de protéger les siens… Un sacrifice pour que perdure la primauté des Bathory. Lestat n’avait jamais évoqué cette sombre sorgue, et pourtant, elle le tourmentait depuis plus d’un siècle à présent. Peut-être aurait-il dû trahir l’autorité paternelle, pour leur bien… Peut-être que son père serait alors encore de ce monde. Il n’était pas quidam à porter les culpabilités du monde, là étaient les seuls remords qui le hanteraient pour l’immuabilité. Sempiternelle hostilité, qui avait fini de le rendre encore plus hermétique qu’il ne pouvait l’être avant le drame. N’avait-il rien laissé transparaitre aux regards de ses semblables, tout aussi impénétrable qu’à l’accoutumée, et se contentait de disparaitre lorsque le sujet pouvait être abordé, chose qu’il était totalement déconseillée de faire en présence de démon. Apte à occire pour une simple allusion, à massacrer pour un susurre mal placé… Pourtant, il savait que la perpétuité ne suffirait pas à combler ses désirs de vengeance, à atténuer sa rancune et qu’il n’aurait satisfaction… Apaisement. Des images à jamais gravée dans son esprit… Lorsqu’elles repassaient, encore et encore, en boucle devant ses prunelles assassines, et que seuls les effluves et la succulence de meurtres sanglants pouvaient espérer pacifier…


« J’affamerai votre piètre existence de votre exquise sève
Calcinerai votre chair et m’en ferai une pitance
Dépecés, vos organes glutineux en guise de soutane
Vos yeux exorbités telles de suaves friandises
Vos macchabées suintant comme de parfaites muses
Fantasme d’une ablution à vos viscères
Les fermentations nauséeuses de vos boyaux pour fragrance
La mélodie de vos vociférations à l’instar d’une cantilène
Crevez de votre fardeau
Au baiser de mes crocs. »

    Macabre poésie récitée d’une voix de mâle, à l’étage interdit. Le vampire, à moitié noyé dans l’hémoglobine encore chaude, n’avait pu retenir sa vésanie plus longtemps. Pauvres mortels désarticulés, au mauvais endroit, au mauvais moment… Parti en chasse, il était revenu avec le cadavre à moitié démembré d’une jeune femme, l’un de ses bras déraciné qu’il transportait dans sa main, son organe cardiaque dans l’autre. Ses iris inéluctablement écarlates, toutes canines sorties, des feulements rauques et inhumains se frayaient un chemin hors de son gosier. Complètement transformé, il s’était amusé à lithographier des pentacles sur la peau de la décédée à l’aide de ses serres tout en récitant de sombres prières à des divinités des géhennes. Ce fut seulement lorsque le corps fut méconnaissable qu’il cessa ses délassements, sectionnant quelques phalanges du bras qui l’accompagnait toujours de sa mâchoire carnassière, lançant le cœur qui délaissa une effroyable trainée sanguine le long d’une croisée. La chemise grande ouverte, l’on avait peine à distinguer son tatouage pectoral sous cette couche de rouge profond. Ses congénères humeraient sans doute les exhalaisons qui s’échapperaient de sa chambre, qu’ils aillent au diable, cette demeure était la sienne, il n’avait aucun compte à rendre. Pris d’une folie pure, la respiration accélérée, il quitta son fauteuil en retirant l’intestin dont il s’était servi comme collier et emprunta sans plus attendre une galerie secrète qui l’isolerait de l’académie. Il parcourut les longs corridors comme zombifié, trainant sa carcasse jusqu’au plus loin pour se rendre sous la nécropole dont s’évadait un arôme putride. Il continua sa route à travers ces souterrains qu’il appréciait arpenter, jusqu’à parvenir à une sépulture un peu particulière, celle de leurs aïeux. Lieu de recueillement en présence d’un sépulcre de cristal aux ornementations dorées. La calligraphie hongroise qui parait l’excavation louangeaient le défunt qui en été le propriétaire, absent de sa dernière alcôve. La vue de ce cercueil lui rendit sa placidité accompagnée d’une certaine torpeur… Partir, à mille lieux d’ici, voilà ce qui pourrait le sauver de la démence… Qui sait ce qu’il pourrait être amené à faire… Les assassiner, tous, sans aucune exception, tous ceux qui logeaient dans son antre, les réduire à néant, une orgie de diableries… A quoi pensait-il donc ?! La raison le quittait à son tour… Il n’avait pas le droit d’être faible, il ne l’avait plus, ne s’était-il donc pas suffisamment désappointé pour le reste de ses jours… ! Lestat tomba à genoux et saisit d’une poignée dextre le pendentif à son cou, son index dessina un crucifix inversé sur le sol poussiéreux, et entama à nouveau une patenôtre dans un dialecte ancien qu’il dévoua à la mémoire du disparu. Peu de personnes connaissaient le démon sous ce jour, sans doute était-ce mieux ainsi… Car c’était dans ces incartades qu’il était le plus délétère.
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Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ] 830772sa
Séraphine Bathory

Séraphine Bathory

Messages : 26
Date d'arrivée : 08/06/2010
Humeur : Tourmentée, et terriblement affamée...

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Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ] Vide
MessageSujet: Re: Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ]   Démence Carnassière [ Séraphine Bathory ] EmptyMar 11 Jan - 19:57

L'astre lunaire était a son zénith, l'opalescente lueur étendait son influence sur toutes créatures telles une mère protectrice, couveuse mais indifférente aux drames ou aux joies qui hantent et rongent ses enfants. Progéniture des enfers, ange de cette puissante étoile une silhouette glissait dans les couloirs de la demeure. Elle n'a guère l'attention rivée sur les possibles observateurs, elle ne fait grâce de son attention qu'au chemin qu'elle doit emprunter et aux nombreuses pensées en cours dans son intellect. Celles-ci dérivaient sur la profondeur des ombres, sur la noirceur de son âme et la possibilité d'un jour étendre cette malsaine nature. Les envies de voyages se faisaient souvent violence en elle, et elle ne devait qu'à l'amour profond pour le respect des règles et l'adoration sans vergogne pour son frère la décision de rester gentiment à la demeure familiale. Séraphine ne mit pas longtemps avant de rejoindre dans un silence complet une porte dérobée de l'étage interdit. Personne ne pénétrait jamais ici... Tout du moins le pensait-elle, si ce n'est les âmes chères et assez dignes pour en connaitre le secret. Cette petite porte se fondait dans l'ancienne tapisserie, se mouvait dans les vieilles boiseries et ne laissait en rien deviner sa présence. En un instant la demoiselle disparue de la pièce et se retrouva devant un très ancien escalier aux marches de pierre quelque peu poussiéreuses, conduisant à un lieu cher à son cœur. Son visage impassible ne délivrait aucune émotion, nul signe sur ses traits fins de la tempête de tristesse et de confusion qui s'étendait dans chaque membre et anesthésiait sa perception du monde extérieur. Trop submergée pour adresser ne serait-ce qu'un mot elle avait quitté la cohorte de domestiques à son chevet, elle avait fui l'étouffante atmosphère du salon où personne autre que Marius ne l'y attendait. Dans cet état étrange elle n'avait particulièrement pas la force de supporter ce frère qui n'avait droit à ce nom que par le lignage. Également elle avait abandonné l'idée de rechercher son confident pour se libérer le cœur. Si il n'avait pas de lui même recherché sa compagnie c'est qu'il ne la désirait pas. La froide et cruelle âme souffrait d'un mal sans aucune guérison possible. Le trou béant de son palpitant ne pouvait être comblé et à défaut à peine remplacé. Souhaitant atteindre au plus vite sa destination elle accéléra l'allure et les volutes de soies bercés par la vitesse offrait le seul bruit de leur contact avec le sol. S'enfonçant sans peur dans les entrailles de la terre l'ange de Lucifer ne parvenait presque plus à contenir les différents sentiments qui hurlaient en elle.

Par intermittence des torches offraient une pénombre dans le petit couloir contenant les marches, plus destinées à l'ambiance qu'à la réelle nécessitée. Les célestes iris de la Princesse n'avaient en effet pas besoin d'une lueur pour y décerner chaque infime détail. La nuit était son monde, son environnement et elle n'aurait pour rien au monde échangé son existence sous la douceur lunaire pour rejoindre la brûlure carnassière du soleil. Ainsi tout les dix marches une flamme révélait au monde la pâleur et la fragilité de porcelaine de la demoiselle, l'énigmatique stoïcisme de ses membres fins et la tranchante bleutée de ses yeux. Eux-seuls témoignaient de la rage de la jeune femme, de son désespoir et offraient en promesse à tout perturbateur une mort lente et terriblement douloureuse. La fin de la descente ne tarda pas à apparaitre et sans un soucis pour la lourdeur de la porte en pierre sculptée la demoiselle aux allures si faibles et graciles la referma sur son passage pareille à une simple barrière de mousse. Elle finit ainsi dans les nombreux corridors reliant "la chambre". Sa destination... Son refuge lorsque vraiment tout dépassait sa volonté et que la folie semblait la prendre, son unique endroit où aller pour exprimer son être et ne plus avoir ce poids sur l'âme et la conscience car au moins l'impression d'être avec Lui la pénétrait et elle se sentait rassurée et presque capable de toucher l'âme disparue de cet être aimé... Son père... Son géniteur... L'être qui avait sacrifié jusqu'à sa vie pour elle et n'avoir pas eu le bonheur de côtoyer est une fatalité qu'elle ne pouvait accepté mais qui lui ouvrait une blessure permanente et toujours aussi intense dans sa poitrine. Un poids sur le cœur, une déchirure de ne pouvoir ne serais-ce que se souvenir du son de sa voix.

Fierté de la famille, perle de nacre et de saphir sur l'édifice de leur nom, Séraphine entendait souvent ses proches lui dire qu'elle ressemblait dans son caractère à son paternel, qu'il aurait été fier d'elle et qu'il ne pouvait rêver meilleur enfant avec Lestat... Et pourtant cela aurait été de sa bouche à lui que son cœur avait désespérément besoin d'entendre ces mots. C'était dans ses yeux qu'elle désirait y voir l'amour, l'approbation et l'orgueil de cet être disparu. Trop peu fréquemment elle avait entendu parler de lui ou du récit de sa mort, chaque fois que les souvenirs de ces récits remontaient de sa mémoire des envies macabres de meurtres jaillissaient de ses entrailles pour ne plus vouloir que du sang, des larmes, des cris, la mort et la vengeance. Un feulement de rage sortit de sa poitrine sans qu'elle puisse se contenir et elle termina enfin la course de ses pas à l'entrée de la chambre mortuaire. Marquant un temps d'arrêt elle réalisa avec surprise qu'une autre présence se faisait sentir. Nul besoin pour elle de rechercher de qui provenait le suave ténor qui récitait des promesses de vengeances et des incantations, à qui appartenait cette silhouette imposante et cette séduisante aura démoniaque. Un nom découla des lippes vermeilles de Séraphine, simple chuchotement dans les bruyants blasphèmes de son frère.


Lestat...


Le murmure n'en dit pas plus mais la simple voix cristalline ne pouvait être inaudible à l'un de ses congénères et surtout pas pour son frère qui avait su lorsque Séraphine était sortie de son sommeil reconnaitre ses pleurs et ses secrètes supplications dans la nuit profonde lorsque des cauchemars atroces s'emparaient de ses songes. Sa seule présence avait veillé lorsqu'une mère encore brisée par la perte de son âme sœur et un frère plus qu'irresponsable laissaient la demoiselle dans la solitude de ses regrets. Jusqu'à ce qu'il explore la délicieuse sensation des voyages et de l'autonomie, une nouvelle épreuve qui apprit à Séraphine le passage à l'âge adulte, à la maturité et la valeur d'être son propre maître. Il avait été le seul que son esprit de très jeune vampire avait accepté en tant que soutiens. Et il fut le seul qui lui brisa le cœur en partant loin d'elle, la demoiselle avait un peu pris cela comme un abandon, et si son unique effluve suffisait à combler l'oppressante sensation de solitude un petit peu de tristesse restait, l'amertume de reproches qu'elle ne désirait pas et n'osait pas lui adresser. Ses iris saphirs ne purent se détacher cependant de la stèle un peu plus loin. Sans pouvoir le contrôler l'afflux d'émotions déborda et se traduisit en larmes vermeilles qui souillèrent le magnifique derme et emplirent le fleuve de ses yeux de sang. Sans chercher désormais à cacher sa terrible faiblesse et l'insolante vulnérabilité elle se précipita vers son sauveur qui une fois encore chasserait les ombres qui planaient sur sa conscience. Bien entendu l'odeur d'un autre sang que le sien ne lui avait pas échappé, et si elle n'en avait cure c'est que la faim soudaine provoquée par cette effluve enivrante n'était largement pas suffisante pour délivrer son esprit. Tant qu'elle ne se serait pas confiée, les pensées obsédantes qui tournoyaient dans sa conscience ne partiraient pas de sitôt. L'effet devait être étrangement théâtral, car l'entrée en scène de cette angélique apparition avait tout pour contraster avec la luciférienne folie qui semblait posséder Lestat. Les cheveux soyeux étaient noués en un chignon parfait et s'entrelaçaient à l'intérieur des fleurs de lys bleues qui ne faisaient que renforcer l'intensité des pupilles de la demoiselle, du chignon tombaient quelques mèches en cascades qui finissaient à la naissance de sa poitrine. Sa robe bustier planait autour de sa fine silhouette et tombait en cascade de tissus noiraude et gris argenté, cette parure longue ne laissait entrevoir les pieds nus de la demoiselle qui ne souffrait nullement de la fraîcheur du sol. Séraphine ne se plaignit pas non plus de la froideur extrême de cette salle dissimulée sous des dizaines de mètres en dessous d'un ancien cimetière. Cet ange des ténèbres ne pouvait avoir l'âme plus tourmentée et en peine. S'avançant lentement jusqu'à son frère elle s'arrêta à quelques centimètres de son buste en sang. Serrant sa lèvre inférieure avec ses dents pour essayer d'arrêter ses pleurs il lui suffit de croiser les émeraudes qui lui faisaient face pour comprendre...

Lui aussi souffrait, peut-être autant sinon plus qu'elle. Sans un son elle posa sa main sur l'emplacement où aurait dû battre le cœur de son frère. Tout du moins si les démons de leur espèce en avait eu un. Sans s'occuper du sang qu'elle y mettrait elle mit en ce simple contact tout son amour et sa tendresse. Ses iris emplis de folie et de fureur ne lui firent ressentir aucun frisson de peur, elle n'avait jamais été aussi amoureuse qu'en cet instant ou toute la nature profonde de son frère refaisait surface. En un dernier murmure elle entoura le cou du vampire de ses bras tout en pressant sa divine personne contre lui. C'est ce contact qui la fit frissonner...



Il me manque mon frère... Si tu savais comme l'absence de son image dans ma mémoire ouvre une blessure mortelle dans mon âme... Protège-moi de la tristesse de son trépas et de la douleur de son absence... Serre moi Lestat...


Oui, elle osait avouer à voix haute ce qu'ils pensaient tout bas. Faiblesse ? Elle s'en fichait car il n'y avait pour seul témoin que ce frère qu'elle aimait plus que tout, et dont elle désirait le soutiens, l'approbation et le réconfort. En ces heures sombres elle avait besoin de son étreinte, de son amour mais aussi de sa présence. Marius ne faisait pas le poids, il n'était pour elle qu'un être qui ne partageait que son sang, rien de plus. Et pour ce qui était de sa mère elle ne voulait lui causer de souffrances en lui exprimant son anéantissement de se savoir sans père. La mort de son mari avait suffisamment détruit leur génitrice, cette femme forte avait cependant trouver la force de survivre mais ne restait tout de même de la puissante démone d'autrefois que la moitié d'elle-même. Le silence se fit dans la Crypte et encore une fois du sang tachait le torse musclé de Lestat...
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